Michigan Wolverines
[preview] Northwestern @ Michigan
Présentation du match entre les Wildcats de Northwestern et les Wolverines de Michigan.

#13 Northwestern (5-0) @ #18 Michigan (4-1)


Ann Arbor, Michigan
Michigan Stadium
Samedi 10 octobre 2015
15h30 (heure Est, 21h30 en France)
L’autre match entre équipes classées de cette sixième semaine de football universitaire est également une sacrée surprise. En effet, qui aurait imaginé il y a encore un mois qu’une rencontre entre les Wildcats de Northwestern et les Wolverines de Michigan serait un choc au sommet de la Big Ten ! Mais voilà, l’équipe de la prestigieuse université de la banlieue de Chicago présente pour le moment une fiche parfaite de 5-0 avec notamment Stanford à son tableau de chasse, et les Wolverines de Jim Harbaugh viennent d’enchainer quatre succès probants après une défaite inaugurale contre Utah qui se trouve être une des meilleures équipes de ce début de saison !
Du côté de l’Illinois, il est vrai que l’université est plus connue pour son excellence académique que pour ses performances sportives, quoique tout à fait honorables depuis quelques saisons (qui a dit « et pour son logo atroce ? »). Sur le terrain, l’équipe s’appuie avant tout sur une grosse défense, la meilleure du pays avec seulement 7 points encaissés/match (#1 national) et 247 yards/match (#5). Les stars de l’équipe ne sont pas ici le quarterback ou le coureur, mais bien les leaders de l’escouade défensive. DL Dean Lowry est remarquable en ligne défensive, LB Antohny Walker est partout sur le terrain et le secondary est talentueux au possible avec la paire formée par CB Nick VanHoose et CB Matthew Harris mais aussi le redoutable S Godwin Igwebuike. En attaque, le QB redshirt freshman Clayton Thorson (711 yds, 4 TDs, 3 INTs mais aussi 165 yds et 4 TDs à la course) dirige une escouade surtout portée sur le jeu au sol, où la menace principale se nomme RB Justin Jackson (636 yds, 1 TD). Pas de vedette au poste de receveur mais une paire qui sort du lot avec WR Dan Vitale (196 yds, 2 TDs) et WR Christian Jones (157 yds) qui se partagent la plus grande partie des ballons lancés par Thorson.
Dans le camp d’en face, le tableau est globalement le même : une grosse défense, et une attaque qui trouve le moyen de marquer des points même si ce n’est pas toujours joli à voir. Le retour de coach Jim Harbaugh sur le campus d’Ann Arbor a suscité beaucoup d’espoirs chez les fans qui sortent de quelques saisons globalement décevantes, et la progression de l’équipe sur ce début de saison peut légitimement leur faire espérer un retour du programme au premier plan dans la conférence Big Ten pour les années à venir. Deuxième défense du pays au nombre de points encaissés (7.6/match) et de yards accordés (184/match), c’est bien dans l’escouade du coordinateur défensif DJ Durkin que réside la force de cette équipe. C’est bien simple : Michigan n’a encaissé aucun point lors des deux dernières rencontres et espère bien continuer sur sa lancée ce week-end ! Les Wolverines peuvent compter sur des joueurs expérimentés tels que LB James Ross ou LB Desmond Morgan, mais aussi sur un secondary très solide emmené par S Jabrill Peppers et CB Jourdan Lewis, un des meilleurs cornerbacks de la conférence cette année. En attaque, amateurs de beau jeu, passez votre chemin : coach Harbaugh veut des victoires, peu importe si le spectacle proposé est triste à mourir. Il est vrai que QB Jake Rudock (956 yds, 5 TDs, 6 INTs) est loin d’être un génie, mais peut parfois avoir ses moments de grâce. Là aussi, le jeu au sol est la priorité et la vedette de l’attaque est RB De’Veon Smith (331 yds, 4 TDs) qui porte la majorité des ballons, secondé par RB Ty Issac (187 yds, 1 TD) et RB Drake Johnson (125 yds, 1 TD). Au poste de receveur, WR Amara Darboh (269 YDS, 2 TDs) et surtout TE Jake Butt (234 yds, 1 TD) sortent du lot et peuvent constituer une menace sérieuse pour la défense adverse.
Bref, il est inutile de s’attendre à une explosion du tableau d’affichage de la Big House ce samedi, la rencontre devrait plutôt être une bonne grosse guerre des tranchées, old-school football, Big Ten style, avec une petite poignée de points inscrits. Bien malin qui pourra prédire l’issue de ce match, la victoire devrait sans aucun doute revenir à l’équipe qui commettra le moins d’erreur et perdra le moins de ballon.
Pronostic : Northwestern 13, Michigan 9.
Michigan Wolverines
Michigan titularise QB McNamara en week 1 et QB JJ McCarthy en week 2
Jim Harbaugh a décidé de ne pas trancher entre les deux candidats au poste de quarterback titulaire des Wolverines de Michigan en nommant deux joueurs différents pour débuter les deux premiers matchs de la saison.

QB Cade McNamara face à Colorado State en week 1 et QB JJ McCarthy face à Hawaii en week 2. Jim Harbaugh a donc pris tout le monde à contrepied en décidant de ne rien décider concernant le nom du prochain QB#1 des Wolverines.
« À la fin du camp d’entrainement, j’ai le sentiment que nous avons deux quarterbacks, Cade McNamara et J.J. McCarthy, avec lesquels nous sommes confiants de pouvoir gagner un titre de champion quel que soit celui des deux qui sera au centre de notre attaque. » – Jim Harbaugh, head coach de Michigan.
Au cours de la saison 2021, QB Cade McNamara a lancé pour 2576 yards, 15 TDs contre 6 INT. Il a surtout conclu la saison avec un bilan de 12-2 dont une victoire de prestige face à Ohio State (même si ce jour-là, c’est essentiellement RB Hassan Haskins et la défense qui ont gagné The Game). Récemment nommé parmi les capitaines de l’équipe, il semblait avoir pris une courte avance lors des canps d’entrainements dans cette bataille des quarterbacks qui passionnent les fans de Michigan.
De son côté, QB J.J. McCarthy a lancé pour 516 yards, 5 TDs contre 2 INTs. Ce dernier a également réussi 2 TDs au sol. Ses aptitudes physiques et son statut d’ancien prospect 5-étoiles ne peuvent pas être ignorés. Une partie de la Maize and Blue Nation a d’ailleurs fait pression ces dernières semaines pour qu’une chance soit donnée au quarterback sophomore.
Avec cette annonce, Jim Harbaugh répousse à plus tard une décision qu’il devra probablement prendre au cours du mois de septembre. Les systèmes offensifs à deux quarterbacks ont très rarement fonctionné chez les aspirants au titre national. Le coach des Wolverines se donne donc deux semaines supplémentaires pour séparer les deux joueurs.
Dossier
[rivalry] Michigan et Michigan State à la conquête du Paul Bunyan Trophy
Deux universités, deux campus, deux programmes, pour un trophée, pour un Etat. Michigan versus Michigan State, Wolverines versus Spartans, Ann Arbor versus East Landing. Chaque année, cette confrontation tient en haleine le monde du football universitaire

Deux universités, deux campus, deux programmes, pour un trophée, pour un Etat. Michigan versus Michigan State, Wolverines versus Spartans, Ann Arbor versus East Lansing. Chaque année, cette confrontation tient en haleine le monde du football universitaire.
La rivalité entre Michigan et Michigan State possède une histoire riche. La première confrontation entre les 2 universités remonte à plus d’un siècle, 1898 plus exactement. Depuis cette date, 105 confrontations ont été jouées, et Michigan tient largement les commandes avec un bilan de 68-32-5 en sa faveur.
Ce n’est qu’à partir de 1953 et l’arrivée de Michigan State dans la Big Ten Conference que les 2 universités se disputent le Paul Bunyan Trophy. Ce trophée, représentant le bucheron géant Paul Bunyan, symbolise l’histoire du Michigan, autrefois un Etat majeur dans la production du bois.
L’histoire commune entre Wolverines et Spartans débute donc en 1898. Dès le début, Michigan semble être plusieurs crans au dessus de Michigan State. De 1898 à 1933, Michigan remporte 23 rencontres, pour seulement 2 défaites et 3 nuls. En 1902, les Wolverines l’emporteront d’ailleurs sur un score record de 119 à 0. Michigan sera élu champion national cette année là, comme en 1901, 1903 et 1904.
Entre 1934 et 1937, les Spartans enchainent 4 victoires d’affilée contre Michigan, avant de sombrer 10 fois de suite jusqu’en 1949.
Les années 1950 et 1960 représentent la période de domination de Michigan State. Dans les années 1950, les Spartans sont l’une des meilleures équipes du football universitaire au niveau national. Guidés par coach Clarence Munn et par des joueurs comme Lynn Chandnois, Dorne Dibble, Bob Carey ou encore Don Coleman, MSU termine les saisons 1951 et 1952 invaincu, avec le titre national en poche (partagé avec Tennessee en 1951). Les Spartans remporteront également le Rose Bowl de 1954 et 1956, sous les ordres de coach Duffy Daugherty. Michigan State est à nouveau élu champion national en 1965 (malgré une défaite contre UCLA au Rose Bowl) et en 1966 (co-champion avec Notre Dame, suite au match nul 10 à 10 dans le « Game of the Century »). De 1950 à 1969, les Spartans domineront logiquement les Wolverines avec 14 victoires pour seulement 4 défaites et 3 nuls.
1970 marque un tournant. L’arrivée de Bo Schembechler à la tête des Wolverines va radicalement changer la donne. Michigan devient à nouveau une place forte du football universitaire durant cette décennie. Classé dans le top 10 (au classement AP Top 25) des équipes universitaires de 1970 à 1979, Michigan prendra le dessus sur Michigan State 8 fois sur 9 (défaite en 1978, année où les 2 universités se partageront le titre de la Big Ten Conference). Les années se suivent et se ressemblent, puisque Michigan remportera 8 des 10 matchs joués durant les années 1980.
Le match de 1990 marque un moment important dans l’histoire de la rivalité. Classé #1, UM reçoit MSU à Ann Arbor. Favoris, les Wolverines sont menés 28 à 21 dans la dernière minute. Un touchdown d’Elvis Grbac pour Derrick Alexander permet à Michigan de revenir à un point. Gary Moeller, le coach des Wolverines, joue la gagne avec une tentative de conversion à 2 points. Dans une action très confuse, les arbitres oublieront une pass interference d’Eddie Brown sur Desmond Howard. Le score ne changera plus malgré une dernière Hail Mary de Grbac qui sera d’ailleurs interceptée. Après le match, les arbitres appelleront Moeller afin de s’excuser pour la mauvaise décision arbitrale ayant couté le match à Michigan.
Les années 1990 restent tout de même à l’avantage des Wolverines. Classé dans le top 10 de l’AP Top 25 jusqu’en 1997, Michigan dominera son rival avec un bilan de 7-4 entre 1990 et 2000. Les Wolverines, guidés par le quarterback Brian Griese et le vainqueur du trophée Heisman Charles Woodson, seront même champions nationaux en 1997.
L’arrivée des années 2000 marque par la même occasion l’arrivée d’un certain nombre de belles confrontations, à la fois serrées et intenses, entre les 2 rivaux.
Le match de 2001 par exemple, aussi appelée le « Clockgate », restera à jamais dans les mémoires des deux camps. Menés 24 à 20 à 3 minutes de la fin, les Spartans recupèrent le ballon au milieu de terrain. Après une penalité contre Michigan pour un facemask et une autre pour avoir mis 12 joueurs sur le terrain, MSU a une occasion rêvée de passer devant à 17 secondes de la fin. Jeff Smoker, le quarterback des Spartans, tente une course mais est stoppé sur la ligne des 1 yards, avec l’horloge qui tourne. Michigan State se dépêche pour « spiker » la balle afin d’arrêter la montre. Le chronomètre indique qu’il reste 1 seconde à jouer, avec donc une dernière tentative pour les Spartans. Sur la dernière action du match, Smoker trouve T.J. Duckett pour le touchdown, permettant à Michigan State de l’emporter 26 à 24.
Le commentateur radio de Michigan, Frank Beckmann, qualifiera le match de « criminel » et critiqua fortement les arbitres. Malgré les réclamations de Beckmann, il a été prouvé que la décision arbitrale était bonne et qu’il restait bien du temps au moment du « spike ». Beckmann insista tellement que Bob Stehlin, le Clock Operator (responsable de l’horloge), était à deux doigts de poursuivre Beckmann en justice pour diffamation et calomnie. Finalement, aucune plainte n’a été portée et tout est rentré dans l’ordre.
Trois ans plus tard, Michigan et Michigan State s’opposent à Ann Arbor, dans un match qui se décidera en 3 prolongations (ce qui n’est jamais arrivé auparavant au Michigan Stadium). Les Wolverines l’emporteront 45 à 37, portés par leur receveur star Braylon Edwards (11 réceptions pour 189 yards et 3 touchdowns) et leur running back Mike Hart (224 yards en 33 courses).
L’année suivante, la rencontre se décidera à nouveau en prolongations. Ce match est spécial car c’est la première fois depuis 1968 que Michigan State est classé (#11) dans l’AP Top 25 alors que Michigan ne l’est pas (au moment de l’opposition). Cela n’empêchera cependant pas les Wolverines de dominer le début de match, en menant au score 14 à 0 puis 21 à 7. Les Spartans réagissent et parviennent à revenir à la hauteur de leur adversaire. Le temps réglementaire se finit sur un score de parité 31 à 31. En prolongations, MSU aura l’occasion de passer devant sur un field goal, mais le kicker John Goss est maladroit. Cela va couter très cher aux Spartans vu que le kicker de Michigan, Garrett Rivas, permettra à son équipe de l’emporter sur un field goal de 35 yards.
La suprématie de Michigan sur son rival se prolongera jusqu’en 2007, avec deux nouvelles victoires 31 à 13 et 28 à 24, portant ainsi la série victorieuse des Wolverines à 6 victoires d’affilée.
A partir de 2008, la tendance s’inverse. Michigan State va dominer son rival pendant 4 longues années, avec notamment des victoires inattendues en 2009 et 2011. Michigan parviendra à stopper l’hémorragie en 2012 en l’emportant 12 à 10 face aux Spartans, le tout sans scorer le moindre touchdown durant le match avant d’être ridiculisé 29-6 par Michigan State en 2013 qui a sacké le quarterback des Wolverines à 7 reprises forçant ainsi le programme d’Ann Arbor à terminer avec une abominable fiche de… -48 yards au sol !
Samedi, un nouveau chapitre du Paul Bunyan Trophy s’ouvrira à East Lansing. Ce sera la 114ème confrontation entre les 2 universités, pour notre plus grand bonheur.
L’anecdote : Les Spartans sont la « football factory »
Au début des années 1950, les Michigan State Spartans sont considérés comme l’une des meilleures équipes du pays. Ils gagnent même le surnom de « football factory », que l’on pourrait traduire comme « l’usine à football ».
Ce surnom n’est cependant pas pris au hasard. En effet, les années 1950 sont marquées par le développement de l’industrie automobile à Detroit, la principale ville de l’Etat du Michigan. C’est donc en référence à la ville leader de fabrication automobile que les Spartans étaient appelés la « football factory ».
Michigan Wolverines
Les Wolverines débutent leur Révolution offensive
En abandonnant le style pro-style de Jim Harbaugh pour les schémas offensifs plus modernes de Josh Gattis, Michigan a-t-il trouvé la dernière pièce du puzzle en route vers les playoffs

Construire une attaque se fait généralement graduellement. On travaille un concept central et on y ajoute des éléments progressivement tout au long de la saison une fois que les joueurs maitrisent les différents schémas.
Le fameux « Process ». Répéter pour mieux assimiler et voir dans chacune des erreurs des opportunités d’apprendre. C’est aussi un jeu stratégique. Essayer de nouveaux systèmes en condition de match sans en dévoiler trop à ses futurs adversaires.
Et puis il y a des moments comme samedi dernier au Michigan Stadium. Lorsqu’en raison d’une incertitude sur ce que tout cela est encore, ou d’un désir exagéré de prouver trop vite, vous vous jetez tête la première avant de faire le tri en ce qui doit être conservé et ce qui doit être laissé de côté.
L’expérience offensive Jim Harbaugh-Josh Gattis a officiellement été dévoilée à Ann Arbor face à Middle Tennessee. Cela ressemblait un peu un voyage initiatique pour un programme en recherche de son identité après plusieurs années d’une pro-style offense « à l’ancienne » qui avait fini par s’essouffler sans jamais avoir trouvé son rythme.
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Face aux Blue Raiders, Michigan a exécuté 78 jeux offensifs. Certains des concepts ont d’abord intrigué avant de finir par être efficaces. Certains semblaient encore à polir bien que prometteurs. Et certains étaient clairement des expériences à ne pas renouveler.
Les Wolverines ont accumulé 453 yards en attaque (223 au sol, 220 dans les airs). QB Shea Patterson a lancé trois passes de TD en première mi-temps. WR Tarik Black semblait comme un poisson dans l’eau sur les jeux run-pass option (RPO). Il a notamment réussi un TD de 36 yards. WR Nico Collins a également contribué (TD sur réception de 28 yards) et les deux tight-ends, TE Sean McKeon et TE Nick Eubanks, ont continuellement pesé sur le match grâce à leur polyvalence.
Michigan a surtout créé de la confusion chez les Blue Raiders en alternant des 12 personnel (un RB, deux TD, deux WRs), des 11 personnel (un RB, un TE, 3 WR) avec un des receveurs occupés par un tight-end comme sur ce TD de WR Tarik Black sur lequel TE Nick Eubanks a perturbé le backfield défensif adverse avec un tracé « drag route ».

On a même eu droit à un schéma inspiré de la triple-option sur la première course en carrière de RB Zach Charbonnet.

Les Wolverines sont devenus imprévisibles. Une Révolution à Ann Arbor.
Michigan Wolverines
DL Rashan Gary se présente à la draft NFL 2019
Le joueur de ligne défensive junior des Wolverines de Michigan, Rashan Gary, renonce à sa dernière année d’éligibilité NCAA pour se présenter à la prochaine draft NFL.

Le joueur de ligne défensive junior des Wolverines de Michigan, Rashan Gary, renonce à sa dernière année d’éligibilité NCAA pour se présenter à la prochaine draft NFL.
Il est actuellement considéré comme l’un des meilleurs prospects à son poste et son potentiel laisse croire qu’il sera sélectionné par une franchise NFL au 1er tour en avril 2019.
Rashan Gary a fait cette annonce via son compte Twitter :
Rashan Gary Announces… https://t.co/fXQAmcRX4c via @YouTube
— Rashan Gary ® (@RashanAGary) 26 novembre 2018
Ancien prospect #1 du recrutement 2016, le premier complet de coach Jim Harbaugh, Rashan Gary avait suivi son ancien head coach au lycée de Paramus Catholic (New jersey), Chris Partridge (désormais coach des safeties à Michigan).
Après une saison 2016 timide, il a explosé en 2017 en réussissant 58 plaquages, 11.5 pour perte et 5.5 sacks. Cette saison, il a été ralenti par des blessures (épaule) lui faisant manquer plusieurs matchs.
Il quitte les Wolverines après avoir accumulé 136 plaquages et 10 sacks.
En NFL, Rashan Gary évoluera surement au poste de defensive tackle dans une défense 4-3 ou comme defensive end (5-technique) au sein d’une défense 3-4.
DL Rashan Gary n’a pas encore annoncé s’il participera au bowl game de Michigan.
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